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Robert Bloch : Lori

vendredi 29 juillet 2022, par Denis Blaizot

Auteur : Robert Bloch Robert Bloch Cet écrivain mérite sans conteste une page parmi mes auteurs préférés, mais le nombre de titres que j’ai eu le plaisir de lire est insuffisant pour cela.

Donc, en attendant d’enrichir ma bibliothèque de quelques autres titres, je me contenterai d’un mot clé pour vous faciliter la navigation d’une page à l’autre le concernant.

Titre français : Lori

Titre original : Lori (1989 1989 )

Éditeur : Presses pocket (Terreur)

Année de parution : 1990 1990

ISBN : 9782266034364

Quatrième de couverture :

Depuis qu’elle avait vu la photo, chaque soir Lori rêvait d’une tombe prête à l’engloutir. Et, de nuit en nuit, ses cauchemars se faisaient plus précis jusqu’à ce qu’elle sente sa chair se décomposer et se détacher de ses os.
Prise dans les mailles d’une machination diabolique où se mêlent meurtres, escroqueries et surnaturel, elle sait que sa descente aux enfers ne peut se terminer que dans le sang. Mais quel rôle lui a-t-on réservé : tueur ou victime ?

Mon avis : D’entrée de jeu, je dois bien avouer que Lori est loin d’être mon préféré parmi les nombreuses œuvres de Robert Bloch Robert Bloch Cet écrivain mérite sans conteste une page parmi mes auteurs préférés, mais le nombre de titres que j’ai eu le plaisir de lire est insuffisant pour cela.

Donc, en attendant d’enrichir ma bibliothèque de quelques autres titres, je me contenterai d’un mot clé pour vous faciliter la navigation d’une page à l’autre le concernant.
. Et il faut en avoir fini la lecture pour vraiment donner son avis. Pourquoi ? Parce que ce roman se déroule en plusieurs phases qui n’ont pas toutes le même attrait. Le début n’étant pas le plus motivant.

Ce roman a été publié aux éditions Presses Pocket dans collection horreur. Bon. PP, OK. Le publier dans un format de poche, pourquoi pas ? Mais pourquoi la collection Horreur ? Il n’y a pas une touche d’horreur dans ce roman.

Comment expliquer sans dévoiler ?
Un début très calme. Une voyante qui aide l’héroïne, mais... Et tout doucement, ça tourne à l’enquête policière. Et il est à noter que le flic chargé de l’enquête est un modèle du genre : célibataire, obèse, désabusé et à deux doigts de la retraite. Un truc amusant : il n’arrête pas de se comparer et de comparer son travail aux flics de romans et de série TV. Donc, au détour des pages, vous pourrez lire les noms de l’inspecteur Harry, Nero wolf, ou une petite critique de Jessica Fletcher (Arabesque).
Mais au final, ce ne sont que les 30 dernières pages qui ont un réel côté fantastique. Lori est-elle possédée par l’âme de sa mère ? Est-elle victime d’un psychiatre doué pour l’hypnose ? Ou le grand méchant a-t-il fait appel au savoir Vaudou ? Vous ne le saurez pas.

Bon, là, certains vont dire que j’en ai trop dit. Tant pis pour eux.

En bref : J’aurai pu, dans un moment de mauvaise humeur, abandonner la lecture ce livre dans son premier tiers si je n’avais pas déjà lu et apprécié Robert Bloch Robert Bloch Cet écrivain mérite sans conteste une page parmi mes auteurs préférés, mais le nombre de titres que j’ai eu le plaisir de lire est insuffisant pour cela.

Donc, en attendant d’enrichir ma bibliothèque de quelques autres titres, je me contenterai d’un mot clé pour vous faciliter la navigation d’une page à l’autre le concernant.
. Mais voilà ! Je me suis accroché et au fil des pages, il m’a accroché. Je ne l’(ai plus lâché jusqu’au mot de la fin. Alors n’hésitez pas à le lire. Ce n’est à mon sens pas le meilleur de l’auteur mais il vaut bien le temps qu’on peut lui consacrer.

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