Titre : L’horreur dans les hauteurs
Titre original : The Horror of the Heights (The Strand Magazine — novembre 1913 1913 — Vol. XlV)
Traducteur : Denis Blaizot
Éditeur : La bibliothèque de Gloubik
Année de publication : 2022 2022
J’avoue ! Je vous soumets aujourd’hui une traduction non corrigée. Un peu la flemme de le relire pour y relever des erreurs de conjugaison. Bref.
Un petit résumé ? Un aviateur cherche à monter le plus haut possible pour découvrir des êtres vivants qu’il est persuadé devoir exister dans cette zone de l’atmosphère terrestre encore inexplorée. Nous découvrons son aventure au travers d’une transcription de son journal personnel. Ou du moins de ce qu’il en reste après la disparition de l’homme. C’est donc à un conte fantastique que nous avons affaire.
Il a été publié en français dès 1922 1922 et on peut le trouver suivant les éditions pour plusieurs titres :
- L’Horreur en plein ciel
- L’Horreur du plein ciel
- L’Horreur des altitudes
- L’Horreur des hauteurs
Et ça, sans compter les éditions dans la presse.
L’ai-je appréciée ? Oui. Bien sûr, c’est un récit de voyage solitaire. La seule action est l’agression du héros par des êtres volants dans les airs à haute altitude et comment il en réchappe lors d’un premier vol. Certains pourraient être tentés de la rapprocher du roman de Maurice Renard : Le péril bleu. Mais ce serait à mon sens une grave erreur. En effet, contrairement au Péril bleu, il n’y a ici aucun être pensant, vivant dans le ciel et voulant étudier l’être humain comme nous le faisons avec les êtres des grands fonds marins.
Bon ,ben... j’va continuer mon exploration des nouvelles de Doyle, moi.
