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Graham Masterton : Le miroir de Satan

vendredi 9 septembre 2022, par Denis Blaizot

Auteur : Graham Masterton

Titre français : Le miroir de Satan

Titre original : Mirror (1987 1987 )

Éditeur : Presse Pocket(Coll. Terreur)

Année de parution : 1991 1991

ISBN :2-266-10375-X

Quatrième de couverture :

Martin Williams, un scénariste, fait l’acquisition d’un miroir ayant appartenu à Boofuls, enfant-star d’ Hollywood, assassiné en 1939 1939 dans des circonstances aussi tragiques que mystérieuses. Les miroirs, c’est bien connu, peuvent être des portes sur d’autres mondes. Celui-là est une porte sur l’enfer, sur un « Hollywood à l’envers » où sous ses dehors de petit garçon angélique, Boofuls va se révéler la plus diabolique des créatures..

Mon avis : Je n’en suis pas à mon coup d’essai avec ce roman de Masterton. Mais le peu que j’ai lu m’a donné envie de m’approvisionner avec ses romans fantastiques ou horreurs. Mais la lecture de Le miroir de Satan me fait regretter cet emballement.

Pourquoi ? Parce que j’ai fini par m’ennuyer pendant cette lecture. Même s’il arrive beaucoup de choses, j’ai eu le sentiment que cela se déroulait sur un temps très long... alors que ce n’est pas le cas. Je l’ai lu avec enthousiasme jusqu’à un peu plus du tiers. Et là, la magie s’est envolée. J’ai trouvé que ça se mettait à patiner. Alors quand la scène du mec qui se coupe la langue manipulé par... on ne sait pas encore quoi est arrivée... Elle aurait pu relancer mon intérêt pour cette histoire. Au contraire. Je l’ai trouvée ratée. Comment dire ? Le mieux est sans doute de la raconter comme je l’ai ressentie : Un homme qui a donné quelques informations au héros est agressé via son miroir par une créature maléfique qui prend le contrôle de tous ses gestes pour le forcer à se couper la langue. Il est quelque peu réticent. L’idée ne plus plait guère. Pourtant, j’ai eu l’impression qu’il le fait comme il aurait plié des cocottes en papier un jour de pluie ennuyeux. Ç’a été la goutte qui a fait déborder le vase. J’ai bien d’autres choses à lire (dont d’autres romans de Masterton) pour m’acharner sur ce roman.

En bref : Il annoncé comme une superbe revisite du roman de Lewis Carroll De l’autre côté du miroir. Je ne saurai en juger, mais il est certain les références sont nombreuses. Toutefois ce lien n’est pas suffisant pour que je perde mon temps à cette lecture.

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