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Helen McCloy : La vierge au sac d’or

lundi 23 août 2021, par Denis Blaizot

Auteur : Helen McCloy

Titre français : La vierge au sac d’or

Titre original : She walks alone (1948 1948 )

Éditeur : Néo NéO Les éditions Néo ont publié leur premier titre en 1979 et le dernier 1990.
Tous les titres ont été publiés à quelques milliers d’exemplaires. Cette collection fait partie des incontournables pour les amoureux des romans et nouvelles dans les domaines du Policier, du Thriller, de la SF et du Fantastique. Malheureusement le prix de vente de chaque volume ne pouvait qu’annoncer la mort de cet éditeur. Je me rappelle encore du prix du premier volume de Fredric Brown qui m’a fait découvrir l’auteur et l’éditeur : Homicide mode d’emploi. 38 francs pour un volume de 174 pages, en 1986, c’était un énorme trou dans mon budget d’étudiant.
(Coll. Le Miroir obscur)

Année de parution : 1982 1982

ISBN : 2-7304-0127-X

Quatrième de couverture :

« Au temps de l’empereur Yao, une vierge portant un sac d’or pouvait aller d’un bout à l’autre de l’Empire sans crainte d’être molestée.Depuis, les temps ont changé... » (Chronique chinoise)

Ces quelques mots placés en exergue du très étrange roman d’Helen McCloy situent la position angoissante dans laquelle se trouve Nina Keyes, jeune femme fragile mais courageuse. Parviendra-t-elle saine et sauve à Washington alors qu’elle ramène des Antilles anglaises, en passant par New-York, la somme non négligeable, en cet immédiat après-guerre, de 100 000 dollars ?

Après un voyage en cargo marqué par deux morts violents où intervient — pas du tout accidentellement — un épouvantable serpent « échappé » des bagages d’un étrange spécialiste des reptiles et une nuit à New-York dans une terrifiante maison qu’elle croit à tort déserte, Nina arrive pourtant... avec l’argent. Mais c’est là qu’elle risque de tout perdre... Comment ? Le lecteur qui aura survécu à tant de péripéties et de suspense risque d’être foudroyé par un des plus stupéfiants retournements de perspective de l’histoire du roman policier.

Mon avis : Ce livre, acheté d’occasion, traînait dans ma bibliothèque depuis de nombreuses années. Récemment, le fait qu’il est aussi été publié dans la collection Série Blême Série blême Série à la vie courte des éditions Gallimard. m’a amené à le sortir de son coin pour être lu.

Il existe, à ma connaissance, trois éditions française de ce roman : Série Blême Série blême Série à la vie courte des éditions Gallimard. , NéO NéO Les éditions Néo ont publié leur premier titre en 1979 et le dernier 1990.
Tous les titres ont été publiés à quelques milliers d’exemplaires. Cette collection fait partie des incontournables pour les amoureux des romans et nouvelles dans les domaines du Policier, du Thriller, de la SF et du Fantastique. Malheureusement le prix de vente de chaque volume ne pouvait qu’annoncer la mort de cet éditeur. Je me rappelle encore du prix du premier volume de Fredric Brown qui m’a fait découvrir l’auteur et l’éditeur : Homicide mode d’emploi. 38 francs pour un volume de 174 pages, en 1986, c’était un énorme trou dans mon budget d’étudiant.
et le Masque Le Masque . Je ne sais pas ce qu’il en est pour les deux autres, mais je peux, après l’avoir subit, vous dire qu’il faut éviter l’édition NéO NéO Les éditions Néo ont publié leur premier titre en 1979 et le dernier 1990.
Tous les titres ont été publiés à quelques milliers d’exemplaires. Cette collection fait partie des incontournables pour les amoureux des romans et nouvelles dans les domaines du Policier, du Thriller, de la SF et du Fantastique. Malheureusement le prix de vente de chaque volume ne pouvait qu’annoncer la mort de cet éditeur. Je me rappelle encore du prix du premier volume de Fredric Brown qui m’a fait découvrir l’auteur et l’éditeur : Homicide mode d’emploi. 38 francs pour un volume de 174 pages, en 1986, c’était un énorme trou dans mon budget d’étudiant.
... à moins d’être un fan des coquilles. Et là je ne parle pas des simples substitutions ou absences de lettres (qui sont nombreuses) mais aussi de mots en doubles et, fin du fin pour le véritable amateur :-) , de passages intervertis (au moins deux). Qui est responsable de ses coquilles ? Mystères. Tout ce que je peux dire, c’est ces défauts sont suffisamment nombreux pour donner envie de reposer le livre pour passer à autre chose. Heureusement, j’ai trouvé l’histoire suffisamment prenante pour me retenir et j’en suis venu à bout.

Tout tourne autour de ces fameux 100 000 $ qui apparaissent et disparaissent laissant derrière eux morts, blessés et situations alambiquées. Et la plus grosse partie du roman est un hui-clos se déroulant sur un bateau. Le nombre de victime et de coupable y est donc fortement limité. Mais l’auteure a su distiller les informations pour maintenir le suspens. Je ne vous dirais pas combien il y a de morts, ni si le paquet arrive à destination. À vous de lire. Et vous ne le regretterez pas... si le volume que vous avez entre les mains est exempt de toutes les coquilles de l’édition NéO NéO Les éditions Néo ont publié leur premier titre en 1979 et le dernier 1990.
Tous les titres ont été publiés à quelques milliers d’exemplaires. Cette collection fait partie des incontournables pour les amoureux des romans et nouvelles dans les domaines du Policier, du Thriller, de la SF et du Fantastique. Malheureusement le prix de vente de chaque volume ne pouvait qu’annoncer la mort de cet éditeur. Je me rappelle encore du prix du premier volume de Fredric Brown qui m’a fait découvrir l’auteur et l’éditeur : Homicide mode d’emploi. 38 francs pour un volume de 174 pages, en 1986, c’était un énorme trou dans mon budget d’étudiant.
(Et inutile d’espérer un NéO NéO Les éditions Néo ont publié leur premier titre en 1979 et le dernier 1990.
Tous les titres ont été publiés à quelques milliers d’exemplaires. Cette collection fait partie des incontournables pour les amoureux des romans et nouvelles dans les domaines du Policier, du Thriller, de la SF et du Fantastique. Malheureusement le prix de vente de chaque volume ne pouvait qu’annoncer la mort de cet éditeur. Je me rappelle encore du prix du premier volume de Fredric Brown qui m’a fait découvrir l’auteur et l’éditeur : Homicide mode d’emploi. 38 francs pour un volume de 174 pages, en 1986, c’était un énorme trou dans mon budget d’étudiant.
qui ne les contiendrait pas puisque cet éditeur ne faisait pas de deuxième tirage.)

En bref : Un très bon polar que je vous conseille. Et si je trouve un autre roman d’Helen McCloy, je tenterai ma chance.

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