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Alick Munro

Je n’ai rien trouvé d’autres — pour l’instant — que quelques traces d’œuvres signées de ce nom.
Il s’agirait peut-être de Alexander Richard B. Munro (1871 1871 -1935 1935 ) d’après philsp.com. Et encore ! Je n’en suis pas certain.

Voici les titres d’œuvres signées de ce nom que j’ai pu identifié :

Par hasard, je découvre une petite info sur une autre œuvre de cet écrivain.

A Woman of Wiles. Par Alick Munro. (Ward, Lock, and Co. 6s.) — Il n’est pas rare de reprocher à l’auteur de contes de rendre ses héros trop intelligents de façon surnaturelle. Un garçon qui a eu six mois d’entraînement militaire, mener une opération difficile avec l’habileté d’un Alexandre ou d’un Hannibal. M. Munro, d’autre part, rend son héros trop stupide de façon surnaturelle. La « femme aux ruses » était, il est vrai, extrêmement fascinante ; et un amant, ou quasi-amant — Herbert Delabere a vraiment donné son cœur à quelqu’un d’autre — peut revenir vers une telle charmeuse après avoir été trompé une fois ou plus d’une fois, mais il ne tirerait sûrement pas un trait sur une tentative de meurtre. Même un lapin ayant une fois échappé au fascinant serpent, ne se remet pas volontiers à sa portée. Et puis, il est extraordinairement communicatif sur son secret. En dehors de ces choses, A Woman of Wiles est une histoire rapide, pleine d’incidents, bien racontés et de couleurs vives. Une aussi bonne chose de son genre qu’on peut s’attendre à rencontrer. Mais quelle étrange fin ! Une fois, quand le trésor perdu a été retrouvé, le découvreur était heureux pour toujours, Maintenant, les choses précieuses sont jetées parce qu’elles ont de si sombres associations. Est-ce par une conscience plus aiguë, ou par l’art qu’est écrite une fin mélancolique ?