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Ambrose Bierce : La veillée mortuaire

vendredi 26 août 2022, par Denis Blaizot

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Auteur : Ambrose Bierce Ambrose Bierce (1842 — 1913)
Ambrose Bierce naquit dans l’État de l’Ohio, le 24 juin 1842. Il prit du service dans l’armée fédérale ou abolitionniste pendant la guerre de Sécession. La paix revenue, il débuta une carrière de journaliste. En parallèle, il rédigea un grand nombre de nouvelles et de contes souvent sombres et étranges. Sa réputation en France tient surtout à son dictionnaire du Diable.

Traducteur : Denis Blaizot

Titre : La veillée mortuaire

Titre orginal : A Watcher by the Dead (1889 1889 )

Éditeur : La bibliothèque de Gloubik (Coll. Ebooks gratuits)

année de publication : 2022 2022

Il semble que cette nouvelle d’Ambrose Bierce Ambrose Bierce (1842 — 1913)
Ambrose Bierce naquit dans l’État de l’Ohio, le 24 juin 1842. Il prit du service dans l’armée fédérale ou abolitionniste pendant la guerre de Sécession. La paix revenue, il débuta une carrière de journaliste. En parallèle, il rédigea un grand nombre de nouvelles et de contes souvent sombres et étranges. Sa réputation en France tient surtout à son dictionnaire du Diable.
ait connu sa première traduction en français de la main de Jean Ray Jean Ray Raymond Marie de Kremer, principalement connu par ces deux pseudonymes, est un auteur très prolifique. Il aurait rédigeait près de 15000 textes sous une trentaine de pseudo. Aussi cette page n’a aucune prétention à l’exhaustivité. Simplement, permettre de trouver facilement dans quel recueil l’une ou l’autre de ces nouvelles a été publiée en français sous les noms de John Flanders ou de Jean Ray. qui l’a intégrée à son anthologie La gerbe noire sous le titre Le Veilleur de la Mort. Nous la retrouvons en 1961 1961 sous le titre Veillée funèbre dans le volume Contes noirs des éditions Éric Losfeld. Enfin, en 1987 1987 , NéO l’édite dans Le Mort et son veilleur où elle donne son titre au recueil. Quand vous l’aurez lue, vous noterez comme moi que le titre choisi par Jean Ray Jean Ray Raymond Marie de Kremer, principalement connu par ces deux pseudonymes, est un auteur très prolifique. Il aurait rédigeait près de 15000 textes sous une trentaine de pseudo. Aussi cette page n’a aucune prétention à l’exhaustivité. Simplement, permettre de trouver facilement dans quel recueil l’une ou l’autre de ces nouvelles a été publiée en français sous les noms de John Flanders ou de Jean Ray. n’est pas le plus réussi.

Pourquoi je publie aujourd’hui cette nouvelle de Bierce en particulier ? Parce que j’ai décidé d’explorer partiellement l’anthologie de Jean Ray Jean Ray Raymond Marie de Kremer, principalement connu par ces deux pseudonymes, est un auteur très prolifique. Il aurait rédigeait près de 15000 textes sous une trentaine de pseudo. Aussi cette page n’a aucune prétention à l’exhaustivité. Simplement, permettre de trouver facilement dans quel recueil l’une ou l’autre de ces nouvelles a été publiée en français sous les noms de John Flanders ou de Jean Ray. . Bien sûr, toutes ne sont pas accessibles via internet. Et certains des auteurs sont de parfaits inconnus... que certains soupçonnent d’être des pseudo de l’anthologiste. Je tablerais plutôt sur une sélection de nouvelles publiées dans une revue que Jean Ray Jean Ray Raymond Marie de Kremer, principalement connu par ces deux pseudonymes, est un auteur très prolifique. Il aurait rédigeait près de 15000 textes sous une trentaine de pseudo. Aussi cette page n’a aucune prétention à l’exhaustivité. Simplement, permettre de trouver facilement dans quel recueil l’une ou l’autre de ces nouvelles a été publiée en français sous les noms de John Flanders ou de Jean Ray. éditait à Gand au milieu des années 20. J’en veux pour preuve — indice serait plus approprié — la présence du conte de Maurice Renard Maurice Renard , Le rail sanglant, dans ce livre alors que sa première publication a été faite dans cette revue. À voir, donc.

Et la nouvelle ! me direz-vous. Que vaut-elle ? Encore une fois avec Ambrose, je ne pourrais en dire du mal sans être parjure. Elle est bonne. Excellente, même et ne mérite qu’une chose, c’est que vous preniez le temps de la lire.