Accueil > Polars, Thrillers et romans noirs > J. T. Rogers : Mon amie la mort

J. T. Rogers : Mon amie la mort

mardi 2 avril 2024, par Denis Blaizot

Auteur : Joel Townsley Rogers

Titre français : Mon amie la mort

Éditeur : NéO NéO Les éditions Néo ont publié leur premier titre en 1979 et le dernier 1990.
Tous les titres ont été publiés à quelques milliers d’exemplaires. Cette collection fait partie des incontournables pour les amoureux des romans et nouvelles dans les domaines du Policier, du Thriller, de la SF et du Fantastique. Malheureusement le prix de vente de chaque volume ne pouvait qu’annoncer la mort de cet éditeur. Je me rappelle encore du prix du premier volume de Fredric Brown qui m’a fait découvrir l’auteur et l’éditeur : Homicide mode d’emploi. 38 francs pour un volume de 174 pages, en 1986, c’était un énorme trou dans mon budget d’étudiant.
(Coll. Le Miroir obscur n° 118)

Année de parution : 1986 1986

ISBN :2720403555

Quatrième de couverture :

Dés pour destin : « Lucky » Costovain, joueur invétéré, a été acquitté du meurtre de la femme qu’il avait épousée pour son argent et qu’il a bel et bien tuée pour la même raison. Mais la malchance lé poursuit : il perd aux dés l’héritage qui lui est finalement revenu et le père de sa victime, qui, n’a de cesse de venger l’assassinat de sa fille, annonce publiquement que Costovain sera anéanti par Lachésis, celle des Trois Parques qui forge les destinées. Grâce aux machinations orchestrées par le père et aux croyances superstitieuses de Costovain lui-même, la prophétie se réalisera : Costovain, parti dans une île à la recherche d’une fortune nouvelle, rencontrera de façon symbolique Lachésis qui le détruira. Cette parabole sur le destin, la culpabilité et-la mort, revêt l’apparence d’une moderne tragédie dans laquelle le minable héros n’a pas plus en main la combinaison gagnante pour les dés que pour la vie.

Mon amie la mort : ou « Comment s’en débarrasser ? » Que feriez-vous si un inconnu oubliait auprès de vous un paquet enveloppé dans du papier journal et que ce paquet contienne une tête humaine ? Bien malin qui le dira. Quant à Beasley Zillip, il avait toujours pensé que deux têtes valaient mieux qu’une, mais c’était avant qu’il ait deux têtes ! D’autant que celle qu’il risque de perdre n’est pas celle qu’on pense...

Sommaire :

  • Dés pour destin (Lady with the Dice — 1946)
  • Mon amie la mort (My Friend Death — 1947 1947 )

Mon avis : J’aurais peut-être dû insister. Ça démarrait bien, mais je me suis essoufflé. La traduction y est pour quelque chose. Trop « au pied de la lettre ». Grammaticalement correcte mais sans plus. Mais aussi, je pense la façon de raconter. Des longueurs. Certains passages manquant mortellement d’intérêt.

Une petite remarque : Mon amie la mort, qui donne son titre au volume, est nettement plus court que le premier texte. alors pour l’éditeur a choisi son titre est un mystère Un mystère Collection de romans policiers en format poche reconnaissables par leur logo.
Créée à la fin des années 40, elle a perduré jusqu’à la fin des années 60 avant de changer de présentation puis de disparaître. De grands nom du roman policier ont eu le plaisir devoir une partie de leur œuvre publiée dans cette collection.
.

En bref : J’ai acheté ce livre d’occasion parce qu’il était de la collection « Le miroir obscur » des défuntes éditions NéO NéO Les éditions Néo ont publié leur premier titre en 1979 et le dernier 1990.
Tous les titres ont été publiés à quelques milliers d’exemplaires. Cette collection fait partie des incontournables pour les amoureux des romans et nouvelles dans les domaines du Policier, du Thriller, de la SF et du Fantastique. Malheureusement le prix de vente de chaque volume ne pouvait qu’annoncer la mort de cet éditeur. Je me rappelle encore du prix du premier volume de Fredric Brown qui m’a fait découvrir l’auteur et l’éditeur : Homicide mode d’emploi. 38 francs pour un volume de 174 pages, en 1986, c’était un énorme trou dans mon budget d’étudiant.
. Je vais le garder pour cette seule raison. À moins que je ne décide de faire du clair dans la bibliothèque et que j’arrête de collectionner les livres. Il est temps que je résiste à ma bibliomanie.