Accueil > Science-fiction, Fantasy, Fantastique > Kurt Steiner : Le masque des regrets

Kurt Steiner : Le masque des regrets

samedi 22 juillet 2023, par Denis Blaizot

Auteur : Kurt Steiner

Titre français : Le masque Le Masque des regrets

Éditeur : Le masque Le Masque fantastique

Année de parution : 1977 1977

ISBN : n/a

Quatrième de couverture :

Une nuit de carnaval en l’an 1680 le comte d’Ermelin rencontre une jeune femme blonde qui devient sa maîtresse. Le lendemain de cette nuit il la trouva morte, allongée sur le lit, les yeux grands ouverts, le regard perdu au-delà du monde visible.

Le Prévôt de la ville découvrit le sillon bleuâtre coupant la gorge. Mais comment accuser Ermelin du crime ? Le corps étant celui d’une femme pendue huit jours plus tôt, en place de grève...

Un siècle et demi plus tard, une nuit de carnaval, apparaît une jeune femme blonde qui est l’exacte réplique de la mystérieuse compagne d’Ermelin.

Mon avis : Quand le texte est court je peine souvent à trouver de quoi en dire. Surtout si je le trouve bon. J’ai donc attendu une semaine avant de rédiger cet avis... pour découvrir que je n’étais pas plus avancé.

Ce roman a connu une première édition en 1960 1960 dans la collection Angoisse de Fleuve Noir. Puis en 1977 1977 dans la collection fantastique du Masque. Maintenant, vous pouvez plus facilement vous le procurer en achetant le volume Angoisse 4 de Rivière Blanche(sortie en septembre 2023 2023 .).

Et maintenant, que puis-je dire du roman sans en dévoiler beaucoup plus que ne le fait la quatrième de couverture ? Peut-être simplement que, après une première partie se déroulant dans le passé, le lecteur change de point de vue. Le narrateur devient le héros d’étranges événements dans les même lieux et les mêmes circonstances. Et il essaie de se dépêtrer d’une situation pouvant le mener à la prison ou à la mort.

Comme à chaque lecture d’un roman d’André Ruellan (alias Kurt Steiner) je suis très satisfait. Le style est bon, l’histoire intrigante à souhait. Bien sûr cela ne conviendra pas à ceux pour qui une histoire de vengeance exécutée par un esprit ne peut être que sanglante. Ceux-là trouveront que ça manque d’hémoglobine. Moi ça me va. Je préfère le sous-entendu à la démonstration.

En bref : Voilà un roman qui mérite d’être lu. Alors n’hésitez pas et n’ayez pas peur du mot angoisse qui apparaît dans le titre de la collection de Fleuve Noir ou le titrer du volume de Rivière blanche.

Retrouvez la fiche du livre et d’autres chroniques sur Livraddict


Retrouvez la fiche du livre et d’autres chroniques sur Babelio