Auteur : Nicolas Le Breton
Titre français : Odregan
Éditeur : 1115
Année de parution : 2018 2018
ISBN : 9791097100346 - 9791097100285 - 9791097100544
2 € la nouvelle. 7€ le petit roman.
Quatrième de couverture :
— Odregan ne serait pas une légende ? Odregan serait une réalité ? Je veux dire, on a souvent pensé que ces documents étaient des faux habiles, des manipulations extrêmement bien faites… mais ça ?
Il médita longuement. Un léger soupir lui échappa :
— L’Ico, et Odregan. Les deux plus grands mystères de notre civilisation, réunis.
Un long frisson parcourut les épaules de Vodenn.
La forme immobile d’Odregan semblait attendre un combat avec l’Univers lui-même.
Mon avis : J’ai découvert cet écrivain à l’occasion du festival Voyageurs Immobiles 2023 2023 , biennale autour de la pop culture se déroulant à Cherbourg-en-Cotentin. Le thème m’a plu... le tarif aussi. J’ai donc donné sa chance à cet auteur.
Je n’aurais pas du attendre d’avoir lu les trois pour faire ma critique. En effet, le premier étant lu juste après l’achat (soit plus de six mois), je ne peux pas dire que je m’en souviens beaucoup.
La nouvelle #1 m’a laissé dubitatif. Au point que je me suis demandé si j’avais bien fait acheté les trois.
La deuxième m’a « réconcilié » avec l’auteur et c’est avec un peu plus d’entrain que j’ai entrepris la lecture du cours roman Les jardins du feu et du vide
Avec le roman, j’ai, d’une certaine manière, fait un voyage dans le passé. En effet, comme dans certains romans des années 70, il y a des compositions graphiques réalisées avec du texte. Ça décore... mais c’est illisible. J’ai donc passé mon tour. Entre les petits caractères que je ne peux pas lire et le temps perdu à tourner le livre dans tous les sens...
Côté histoire, le roman est scindé en plusieurs parties et ce n’est que dans la dernière qu’on prend vraiment en quoi ce texte est rattachable aux deux nouvelles. Dommage.
En bref : Je ne regrette ni l’argent investi ni le temps passé à cette lecture. Mais dans le même temps je ne suis pas assez convaincu par cet écrivain pour dire que j’en lirai autre chose.
