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Rufus King : La femme qui a tué

lundi 11 avril 2022, par Denis Blaizot

Auteur : Rufus King

Titre français : La femme qui a tué

Titre original : Lethal Lady (1947 1947 )

Éditeur : Le Masque Le Masque

Année de parution : 1950 1950

Quatrième de couverture :

Qu’est-ce qui a poussé Clara, par un étouffant après-midi d’été, à entraîner dans son bungalow une étrangère rencontrée dans la rue, à lui proposer un bain dans la rivière et à la noyer ? C’est que, miraculeux hasard, cette jeune femme est son sosie parfait.
Dans l’instant, Clara a entrevu un plan monstrueux : tout le monde pensera que c’est elle-même qui est morte, et elle usurpera l’identité de sa victime. Entreprise pleine de pièges et sur l’intérêt de laquelle on peut s’interroger. Mais Clara, mariée à un riche quadragénaire, est une jeune femme cupide et froidement réfléchie : elle sait très bien ce qu’elle veut et elle a tout prévu. Enfin, presque tout…

Mon avis : J’ai découvert ce polar et son auteur par le plus grand des hasards. J’ai trouvé, un dimanche matin, un lot d’une demi douzaine de volumes de la collection Le Masque Le Masque dans la boite à lire installée de la piscine. J’avais déjà pourtant bien assez de lecture en retard, mais... l’appel du livre.

Je me connais. Il aurait pu rester longtemps sur son étagère. Mais un membre de Babelio m’a invité à le lire dans le fil de discussion Challenge Mauvais genre Babelio 2022 2022 . Et je l’en remercie car une belle découverte.

Dès le début, on pressent le meurtre ; qui est l’assassin, qui est la victime. Au fil des pages, le lecteur découvre des personnages secondaires dont il a du mal — voire est incapable — à cerner le rôle dans la suite de l’histoire. Mais Rufus King ne les amène pas là pour rien. Ils ont un rôle. Et pas des moindres.

En bref : Une belle découverte. Et vu le nombre relativement important de ses écrits, j’espère bien avoir l’occasion d’en découvrir d’autres.

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